Les craintes, la perception et la communication de crise
Les souvenirs et les craintes reviennent rapidement à la surface quand un incendie dévaste un site industriel proche de Rouen.
Le “faire ce qu’on dit” et le “dire ce qu’on fait” de la communication de crise est alors plus que nécessaire pour désamorcer les impacts qui s’annoncent.
La capacité d’anticipation est primordiale pour envisager les scénarios et la cascade des impacts.
Le timing est aussi nécessaire car communiquer trop tôt peut attiser les soupçons mais trop tard le message peut être perçu comme du mépris.
Enfin, les choix des canaux de communication et de qui communique sont essentiels car la cible peut être manquée et la perception du message dépendra de qui le dit. Celui ou celle qui porte le message doit être capable d’exprimer une empathie authentique tout en inspirant confiance sur sa capacité à reprendre la situation en main.